LE SOMMEIL DE LA FEMME ENCEINTE : LE COMPAGNON PRIVILEGIE DE NOTRE FUTUR BEBE ZEN

   

On ne nous le dira jamais assez, enceinte, restez zen et optimiste. Bébé ressent tout, vit nos émotions autant que nous-mêmes, une véritable éponge. Bébé va sculpter son rythme, son caractère in utéro, à travers nos propres expériences, nos rythmes.

Maman dort bien, beaucoup = bébé marmotte

Maman cool = bébé cool

Maman mange bien = bébé gourmet/gourmand

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Pour le sommeil, me concernant, je suis une bonne marmotte. Etre fatiguée impacte mon humeur de manière très forte. J’ai besoin de dormir pour être au top de ma forme. Alors, enceinte, il m’était totalement exclut de mettre entre parenthèse ce rituel. Voire même, je devais intensifier mon sommeil car je m’étais construit un schéma sombre de l’arrivée de bébé : « finis les grasses mat, finis les nuits sans réveil, bienvenus les pleurs, les cernes… ».

Et pourtant, j’ai eu la magnifique surprise que ma fille fasse ses nuits à 3 semaines et 3 jours. Elle y est certainement pour quelque chose, ceci étant, je suis convaincue que durant toute ma grossesse, j’ai pu lui apporter une image positive du sommeil.

Je dormais très bien enceinte. Si « Oh malheur » une insomnie tentait de pointer son nez, je prenais les devants : tisane et/ou Euphytose. Bref, de l’homéopathie, des plantes, les meilleures vertus, sans les inconvénients des médicaments, sur lesquelles nous devons être extrêmement vigilantes enceintes. Pour être certaine que l’Euphytose était acceptable dans mon « état », je demandais bien l’avis de ma sage-femme et des pharmaciens.

A la fin de la grossesse, j’éprouvais des difficultés pour trouver la bonne position. Ventre bibendum, dos en compote… La seule solution qui a été efficace : à califouchon sur le pelochon. Je suis une dormeuse sur le ventre, initialement. J’ai essayé d’attendre le plus tard possible pour ne plus pouvoir dormir dans cette position. La seule solution a été de trouver le moyen qui me permettait d’avoir la sensation d’être sur le ventre (en résumé, de sentir un support sur mon ventre) sans pour autant en faire supporter le poids au bébé.

Et me voilà partie avec mon pelochon. Je me mettais sur le côté gauche et à « califourchon » sur mon nouveau compagnon de nuit. J’appuyais ma tête sur le haut du pelochon, mes jambes l’entouraient et nous étions comme 2 amants inséparables.

Je n’avais pas acheté de coussin d’allaitement (pas encore totalement certaine de vouloir l’allaiter), mais pour celles qui en achètent, n’hésitez donc pas à vous en servir de cette manière. En plus, vous pourrez aussi ainsi, l’imbiber de votre odeur, c’est parfait !

Jusqu’à la fin de ma grossesse (oui oui, jusqu’au bout) j’ai toujours dormi comme un bébé. Je crois comprendre maintenant d’où vient cette expression… Et ma fille reproduit exactement le même schéma, en grandeur nature : en moyenne 12-13 heures par nuit, puis 1h30-2 le matin et 2h-3h l’après midi, à encore 9 mois ½.

C’est un bébé très éveillé, qui pleure très peu et je suis convaincue que ceci est la juste conséquence d’un sommeil impeccable. Lors de ses phases d’éveil, elle est à 100% de ses capacités.